EJAYREMY
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le joueur du 34
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  Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 Empty Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2

Jeu 31 Mai 2012 - 17:26
Super Mario Bros - film 1992 C'est film est une immense énigme ! Ca aurait pu s'appeler autrement que ça aurait été la même ! C'est ça Mario ? Sans rire ? Mise a part la licence du jeux video qui est tout simplement massacré. Le film en lui même est un immense nanard cosmique ! A voir absolument ! Juste pour rire !   Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 Super_10 Street Fighter - film 1994 Street Fighter rassemble tout les critères du navet culte. Un casting hors de prix, des acteurs ridicules, un scénario catastrophique et une mise en scène pathétique. Et par dessus tout il tourne au ridicule une des plus grandes saga du monde vidéoludique. On arrive encore à ce demander comment ce film peut nous marquer. Très certainement par le fait que l'on se trouve devant l'un des plus grand navet de l'histoire du cinéma ? Et pourtant il faut le voir ! Pour en rigoler au moins une fois dans sa vie.  Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 Street10Street Fighter : Legend of Chun-Li - film 2009 Une énorme catastrophe ! Etant un gros fan des street figters, je me suis dis autant regardé tous les films et oavs existant, j'ai mis celui la en dernier dans ma liste. Et bien j'avais eu raison. Le scénario est en carton, même celui avec JCVD est bien mieux. La chose qui me choque le plus c'est comment on peut ruiné un si bon jeu ? Les personnages n'ont aucun rapport avec ce du jeu, c'est hallucinant. Comment n'ont ils pas pensé à ça ?! Bison est blond avec un bouc, et en costard... Ça va totalement à l'encontre du jeu. Bref je vais m'éternisé et répéterce qu'il y a été dit, pour moi c'est un bon nanard.   Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 A0c7bd10power ranger turbo le film 1997.La suite des aventures des Power Rangers un peu en dessous du niveau du premier volet. Le casting a changé et les acteurs moins attachant. Un bon moment qui me transporte à l'âge de 9 ans. nostalgie car, oui, j'ai grandit avec ça et la série. Tout comme Pokémon et la série Spider-Man dans les années 90.   Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 Affich23Galaxy Quest (1999)Sans m'attendre à du grand cinéma j'espérais passer un sympathique moment de détente et si en effet Galaxy Quest est sympa il prouve encore une fois que la SF et la comédie se mélangent mal. Car après un bon départ force est de constater que les occasions de rire sont quasiment nulles devant Galaxy Quest aucun dialogues percutant aucune situations délirantes. C'est d'ailleurs ce qui manque à Galaxy Quest le délire, le film se veut une gentille parodie de la série Star Trek et ne dépasse jamais ce niveau.  Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 Galaxy10Batman & Robin - film 1997 Un 4e épisode ridicule d'un bout à l'autre qui a bien failli ruiner la franchise entière. Entre la mise en scène horrible, les acteurs qui se ridiculisent (mention spéciale à Schwarzenegger), les costumes improbables, les mauvais jeux de mots, les scènes d'action plus improbables les unes que les autres, les effets spéciaux ratés et les fous rires qu'entrainent involontairement la vision de "cette chose", Batman & Robin est sans conteste un des nanars les plus lamentables réalisé à ce jour.   Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 Batman19Batman Forever - film 1995Nom mais c'est quoi cette daube !!! Il a suffi d'un seul film pour ternir la réputation du chevalier noir, qui était avant à son apogée, et le voici ! Très très loin du supportable, Joel Schumacher nous livre ici une pure immondice baigné dans une ambiance kitch à mourir (de rire) et porté par des acteurs qui ne s'y retrouve plus ( Mon Dieu! Le Double Face de Tommy Lee Jones est juste horrible pour les fans des comics qui savent ce qu'est véritablement ce personnage). En gros, si vous aimez particulièrement Batman, fuyez ce film pire que décevant !   Les plus gros navets de l'histoire du cinema parti 2 Batman21batman le filme de 1966 Avec ce « Batman » version 1966, on ne sait réellement sur quel pied danser, ce qui explique sa présence sur Nanarland, à ceci près que nous préfèrerons le classer parmi les nanars dits « volontaires ».

A-t-on affaire à du nanar pur jus, à un film maniant aussi délicieusement que maladroitement le kitsch, ou à un vrai « nanar volontaire », assumé de bout en bout ? Je pense que la seconde proposition est celle qui sied le mieux au film, d’autant plus qu’elle est un peu le condensé des deux autres.Le film chroniqué ici est la version grand écran du feuilleton télé inspiré par la bande dessinée. Cette série a vu le jour dans les années 1960 aux USA et a été un véritable succès populaire. Conçue pour être diffusée sur une grande chaîne de télé américaine, c’est une vision de Batman complètement aseptisée qui a été diffusée. Sous l’effet de la censure et du marché, la bande dessinée avait déjà, depuis les années 1950, largement perdu sa noirceur originelle – qu’elle ne retrouvera que dans les années 1970 – pour proposer du personnage et de son univers une version « Journal de Mickey ». Convaincu du potentiel « camp » d’une adaptation de la BD, les producteurs de télévision décidèrent, pour viser un public enfantin, de jouer à fond de la carte du kitsch et de l’autoparodie, aboutissant à créer une série considérée par certains comme une sorte de chef-d’œuvre « pop art » plus ou moins involontaire, où Batman et Robin affrontaient les méchants les plus improbables à l’aide des gadgets les plus ringards, dans des bastons aux bruitages de bande dessinée (« Wham ! Biff ! Pow ! »).Batman serait donc plutôt une sorte de nanar de luxe, qui a mal vieilli à cause d’un parti pris beaucoup trop « arty ». La couleur devenait la norme pour les films de cinéma, et le moins que l’on puisse dire, c’est que les réalisateurs ne se sont pas privés d’en profiter. Les cadrages aussi donnent un certain coup de vieux au film : avec le passage des décennies, il est assez évident que trop de psychédélisme tue le psychédélisme. On s’amuse au final de l’esprit – daté mais sympathique – d’un film et d’un programme ayant cherché à ratisser le plus large possible, en étant à la fois naïf, branché, parodique et (légèrement, tout de même) premier degré, et en cherchant à attirer tous les publics imaginables. Avec plusieurs décennies de recul, cela ne peut laisser indifférent.


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