EJAYREMY
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le joueur du 34
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Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 Empty Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1

Lun 28 Mai 2012 - 2:24
Inspecteur Gadget - film 1999 Une adaptation bien foirée de la célèbre série animée. Disney tente de combiner sa morale féérique à l'univers de l'Inspecteur Gadget, malheureusement ceci n'étant pas compatible, le résultat est proche du désastre artistique. De même, la mise en scène trop mal rythmée donne une migraine digne d'un lendemain de beuverie. A éviter pour vous, à éviter pour vos enfants.Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 Inspec10Inspecteur Gadget 2 - film 2003Autant le premier peut être relativement sympathique, aidé par un duo assez intéressant et par une réelle volonté de coller au matériau de base, malgré un certain vide artistique quand même...

Autant cet épisode 2 est sans doute la plus grosse bouse que j'ai pu voir de toute ma vie, à égalité avec un certain Dragon Ball Evolution.

Si, encore, on retrouvait le casting du premier...Mais même pas.

Bref, nous avons là (supputation personnelle mais sans doute pas loin de la réalité, vu le résultat) des scénaristes qui ont dû même être refusés pour écrire des épisodes des Feux de l'Amour, des acteurs qui devaient être envoyés sur le plateau par leur psy après un traitement au Lexomil, des costumiers et décorateurs shootés au LSD, et un compositeur alcoolique qui en est encore au Bontempi...
Sans oublier des responsables des effets spéciaux qui devaient pas avoir plus de 5 ans et faisaient joujou avec des logiciels de graph et vidéo.

Au final, un superbe laxatif, même pas digne d'un téléfilm.

Bref, une bonne grosse daube bien malodorante. Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 87684410George de la jungle 2 - film 2003 GEORGE DE LA JUNGLE 2 ravira tous les enfants, à qui s’adresse le film sans complexe… Les gags fusent au ras des pâquerettes, l’humour est grotesque mais l’édition DVD gâte bien les spectateurs.
L’image est de bonne qualité, même si l’on devine les images de synthèse aisément : cela fait partie du jeu. Le menu est très animé et drôle. Parmi les bonus, le making-of est réalisé avec beaucoup d’humour. On découvre les plateaux de tournage sur lesquels la jungle a été reproduite, et les méthodes pour rendre les animaux si vrais, avec les "animatronics", des marionnettes très élaborées, et les images de synthèse. Sept scènes coupées sont proposées pour ceux qui en redemandent encore, et un jeu intitulé "De liane en liane" permet de s’amuser dans jungle. Un seul bémol, le "bêtisier hilarant" est vraiment anecdotique puisque qu’il dure environ 20 secondes…
Voilà un DVD qui tombe à pic pour le cadeau de Noël des petits neveux, mais fera difficilement sourire les adultes.Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 34593710MORTAL KOMBAT : DESTRUCTION FINALE Après un « Street Fighter » de navrante mémoire, c’était au tour de « Mortal Kombat », l’autre jeu de baston phare de la décennie 1990, de passer à la moulinette des tâcherons. Après un premier film déjà assez idiot, dont on retenait notamment l’ineffable prestation de Christophe Lambert dans le rôle du Dieu du Tonnerre Raiden, c’est à une véritable secousse sismique sur l’échelle du ridicule que nous inflige de « Mortal Kombat : Destruction Finale », sorte d’estouffade de connerie bourrine agrémentée d’une bonne louche de mauvais goût visuel. Scénario inepte écrit par un mauvais auteur de comic-book ravagé par les amphétamines, couleurs criardes (on devrait même dire hurlantes), musique techno abrutissante et effets spéciaux cochonnés par un stagiaire : voilà un nanar particulièrement crétin qui nous offre la totale.Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 Mortal11TC 2000 - film 1993 Un film post-apocalyptique réunissant un pseudo-ninja et une Barb Wire de Prisunic dans le décor coutumier d'une usine desaffectée ? Le nanardeur se frotte les mains ! Et il a raison car ce TC 2000 reprend scrupuleusement tous les ingrédients d'un sous-New York 1997 avec ses décors constitués d'usines désaffectées et d'entrepôts sombres et mal famés (à distinguer du sous-Mad Max, plus orienté carrières de sable).L'univers de TC 2000 est celui d'une planète dévastée par la pollution où les plus riches se sont réfugiés dans des complexes souterrains, abandonnant la surface au chaos et aux gangs. Nous suivons ici les aventures de Jason Storm, un "tracker" chargé de surveiller ce qui se passe à la surface et de garder les entrées de l'un des abris souterrains. Il doit lutter contre le gang des "Picassos" (prétexte pour affubler ses membres de maquillages bien ridicules dignes de Kiss) et contre un mystérieux traître au sein des forces de sécurité de l'abri. Parallèlement, après avoir été tuée lors d'un affrontement, sa partenaire Zoey Kinsella est secrètement ressuscitée sous forme d'androïde "TC 2000" (pour "Tracker Cybernétique") destiné à défendre l'abri. Mais le fourbe chef de la sécurité semble avoir d'autres projets...Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 23063910Double Dragon - film 1995 1994 fut une grande année pour l’adaptation des jeux vidéo au cinéma. A cours d’idées neuves, les producteurs hollywoodiens s’abattirent tels des criquets pèlerins sur tous les hits sortis sur consoles de jeux comme « Super Mario Bros » ou « Street Fighter 2 ». Le résultat fut quasiment toujours d’une crasse médiocrité. Il aurait été dommage de ne pas chroniquer un des fleurons les plus patauds de cette vague, sorti juste après les aventures du plombier de chez Nintendo : « Double Dragon ».Si « Super Mario » et son univers avaient l’excuse d’être très difficilement transposables dans un film live, le jeu « Double Dragon » n’aurait en revanche pas dû poser problème. Tous les joueurs vous le diront, ce jeu est un classique, même si le scénario est très mince : les deux frères Billy et Jimmy Lee vont sauver une fille prénommée Marion et nettoyer la ville par la même occasion. Postulat de départ on ne peut plus basique mais sans importance pour un jeu d’action, il en aurait pu après tout en être de même pour le film (il suffit de se pencher sur les productions hongkongaises des années 80 et 90 pour constater que bien des films d’action restent intéressants malgré un scénario faiblard) si le réalisateur n’était pas un cancre et si les scénaristes avaient été plus malins. Je dis ‘‘les’’ car ils étaient quatre (comme pour « Super Mario » tiens !) pour pondre cette frétillante daube.Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 Double10Ken le Survivant - film 1995 Habitués de Nanarland, vous le savez, le futur sera post-apocalyptique ou ne sera pas. Ici, c’est carrément la merde. Du monde que nous connaissons, ne subsistent qu’une grande tour en carton-pâte à la décoration post-communiste et un bidonville peuplé d’une vingtaine de figurants hagards, protégeant coûte que coûte leur unique bidon d’eau potable des pluies acides et des hommes de main de l’impitoyable Lord Shin, tyrannique chef de l’armée de la Croix du Sud.Pour la suite, laissons parler la jaquette : “Un spectacle impressionnant. (…) Ken le Survivant associe magistralement science-fiction et art martiaux, aventures futuristes et légendes vieilles comme le monde. (…) Le film frappe autant par des combats parfaitement chorégraphiés que par des décors de toute beauté”. Vous l’aurez deviné, tout ceci n’est que mensonges, calomnies, ragots d’enfants en bas âge. En particulier pour ces décors fastueux mentionnés avec une force évocatrice du désespoir : on a systématiquement droit à la même vingtaine de figurants évoluant dans les mêmes cinquante mètres carré de tôles, de bidons renversés et de murs tagués, associés à d’audacieux plans larges d’étendues désertiques dans lesquelles notre brave Gary s’ébroue n’importe comment. Les plus gros navets de l'histoire du cinéma parti 1 Jaquet12
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