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[Dossier] Les beat'm all de Koei
Dim 4 Déc 2011 - 11:40
Salut à tous, voici ma production de ce weekend pour mon magazine. Hésitez pas à critiquer en bien ou en mal, c'est comme ça qu'on évolue.
Les Beat'm all de Koei
L’âge d’or du beat’em all (ou plus simplement « jeu de baston ») semble loin derrière nous. Foisonnant sur consoles 16 bits, avec des titres de grande qualité tels que Super Double Dragon, Final Fight ou encore Streets of Rage, ce genre s’est plutôt mal adapté aux nouvelles générations de machines, et ses représentants se sont fait de plus en plus rares. Ils sont néanmoins devenus le fer de lance de l’éditeur et développeur japonais Koei, créé en 1978 et fusionné à Tecmo en 2009. Avec plus de 400 jeux à son actif, sur pratiquement tous les supports disponibles, la société s’est intéressée à quasiment tous les genres ; cependant, c’est plus particulièrement dans le domaine du beat’em all que le joueur français connait Koei. Portrait des licences à succès d’un éditeur prolifique.
Les Trois Royaumes
La série des Dynasty Warriors (ou Shin Sangoku Musô en japonais), initiée en 1997 sur PlayStation, est probablement la production la plus représentative de la façon dont Koei envisage le jeu de combats. Le principe du jeu, efficace et passionnant, repose sur l’adaptation vidéo-ludique de ce qui reste, encore à l’heure actuelle, un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature chinoise. Ecrite au quatorzième siècle par Luo Guanzhong, l’Histoire des Trois Royaumes (ou Sanguo Zhi) s’inspire des écrits du lettré Chen Shou datant du troisième siècle après JC.
Cette épopée se concentre sur l’histoire de la Chine des années 184 à 280, période qui vit l’affrontement des royaumes Wu, Wei et Shu pour la domination du pays. Sans entrer dans les détails (les personnages sont nombreux, et leurs noms difficiles à assimiler au premier abord), l’Histoire des Trois Royaumes transcende la simple description historique pour fournir un récit riche et complexe, mêlant considérations politiques et militaires, trahisons, psychologie et batailles épiques. Elle se prête donc à merveille au style de Dynasty Warriors, qui vous propose de choisir un personnage parmi les trois factions et d’affronter des centaines d’ennemis en revivant les épisodes les plus importants du roman.
Si le principe du jeu est simple et finalement très bourrin, sa richesse vient de son approche extrèmement détaillée de l’Histroire des Trois Royaumes. En effet, la série fournit à chaque fois une grande quantité d’explications, de descriptions et de considérations historiques liées aux batailles auxquelles le personnage prend part, et Koei réussit le tour de force de rendre accessible au joueur lambda ces évènements pour le moins complexes. Outre les phases de jeu, qui se résument bien souvent à se tailler un chemin parmi les hordes ennemies avant d’affronter le seigneur de guerre occupant la région, vous êtes donc fortement incités à en apprendre plus sur l’histoire de la Chine au moyen d’une encyclopédie très complète, et c’est là une caractéristique des jeux de Koei : un gros travail est abattu par les programmeurs pour proposer au joueur un scénario passionnant, abordable et culturellement gratifiant, alors que la tendance habituelle des beat’em all fait généralement passer l’histoire au second plan.
Bien entendu, la licence n’est pas exempte de défauts. Il est notamment reproché à Koei un gameplay très basique (vous passez la plupart de votre temps à matraquer le bouton d’attaque pour tailler les lignes ennemies en pièce), une évolution très minime entre les différents épisodes, notamment au niveau des graphismes, ainsi qu’une politique douteuse qui consiste à utiliser le succès de la licence pour lancer sur le marché une multitude de spin-offs à l’intérêt contestable (comme les versions Empire et Xtrème Legends des Dynasty Warriors, qui n’apportent que peu d’amélioration par rapport au titre original, mis à part un aspect plus tactique). Cependant, la magie fonctionne à chaque nouvel épisode (7 à l’heure actuelle) et c’est avec joie qu’on se replonge dans les batailles titanesques et jouissives des Trois Royaumes.
A noter que ces évènements historiques font également l’objet d’autres jeux produits par Koei, notamment les Romance of the Three Kingdoms et les premiers épisodes de Kessen. Et pour ceux qui souhaitent approfondir l’expérience, sachez qu’une version française du roman existe chez Flammarion, et qu’un film réalisé par John Woo a vu le jour en 2008.
L’époque Sengoku
Dérivés de la saga Dynasty Warriors, les jeux Samurai Warriors (Sengoku Musô) en reprennent le fonctionnement global pour étudier cette fois la période Sengoku de l’histoire japonaise, située entre la fin du quinzième siècle et le début du dix-septième. Sur fond d’intrigues politiques, de trahisons et de vengeances, le joueur participe de nouveau à des affrontements gigantesques tout en améliorant sa culture et ses connaissances de l’histoire nipponne, aux côtés de personnages charismatiques tels que le célèbre seigneur Nobunaga Oda, ou encore l’attachant Magoichi Saika, en passant pas l’implacable ninja Hattori Hanzo. Comme dans Dynasty Warriors, le choix de votre camp influera sur la narration ainsi que sur l’agencement des batailles ; la possibilité de faire évoluer les personnages en levellant et l’aspect culturel du jeu garantissent aux Samurai Warriors une durée de vie aussi conséquente que celle, imposante, des Dynasty Warriors. Trois épisodes existent à l’heure actuelle, accompagnés bien évidemment de leurs habituels spin-offs.
Les passionnés de cette partie de l’histoire japonaise pourront également se délecter de la série Nobunaga’s Ambition, jeux de stratégie également édités par Koei, ainsi que du troisième volet de la série Kessen.
Autres dérivés
Le succès de ses deux beat’em all phares, que nous venons d’étudier, a incité Koei à réutiliser à outrance le concept, pour des résultats qui ne sont pas toujours très convaincants. C’est le cas de Dynasty Warriors Strikeforce, qui relate à nouveau les batailles des Trois Royaumes ; si le titre apporte quelques évolution bienvenues, comme la possibilité de se transformer en super-guerrier ou encore un mode online efficace, il est malheureusement plombé par sa difficulté, qui est une véritable punition (le moindre petit ennemi, qui sert habituellement de défouloir avant le boss-fight, est capable d’entammer sévèrement votre énergie). Bladestorm, quant à lui, s’intéresse à la guerre de Cent Ans, mais semble ne pas savoir se positionner entre beat’em all et stratégie. Et que dire de Warriors Orochi, sinon que Koei, en manque apparent d’inspiration, a eu l’idée très douteuse de mélanger les univers (pourtant bien différents et séparés dans le temps par plusieurs centaines d’années) de Samurai Warriors et Dynasty Warriors, au service d’un scénario complètement bateau. Néanmoins, au-delà de cet aspect négatif, le gameplay reste toujours aussi plaisant et jouissif ; mais on regrettera cette perte culturelle au profit d’un cross-over purement commercial.
Il arrive cependant que la formule fonctionne. Warriors : Legends of Troy représente une alternative intéressante à Dynasty Warriors en proposant de visiter la Grêce antique aux côtés d’Achille et autres héros légendaires. Bonne impression également pour les Dynasty Warriors Gundam (3 épisodes pour l’heure) qui mêlent efficacement le style beat’em all de Dynasty Warriors aux combats de mechas géants si prisés par les japonais, avec un nombre de personnages et de robots impressionnant. Enfin, mentionnons Ken’s Rage, adapté du manga Hokuto no ken, dont le style graphique et le scénario brutal conviennent parfaitement au genre de beat’em all dont Koei s’est fait le spécialiste.
Conclusion
Adulé par certains, décrié par d’autres, Koei ne laisse certes pas indifférent, notamment de par ses beat’em all tantôt respectueux et incroyablement riches en contenu ludique et culturel, tantôt empreints d’une sensation d’inachèvement, voire d’affront fait au joueur. Le renouveau de ses séries phares, réclamé à corps et à cris depuis plusieurs épisodes, tarde à venir, mais les jeux n’en restent pas moins des monuments de combat de masse inégalés jusqu’à ce jour par la concurrence. Seul l’avenir dira l’orientation que souhaite prendre la société, mais elle est attendue au tournant pas des armées de joueurs en mal de bourrinage intensif.
Rédigé par Jean-Philippe Estievenart
Les Beat'm all de Koei
L’âge d’or du beat’em all (ou plus simplement « jeu de baston ») semble loin derrière nous. Foisonnant sur consoles 16 bits, avec des titres de grande qualité tels que Super Double Dragon, Final Fight ou encore Streets of Rage, ce genre s’est plutôt mal adapté aux nouvelles générations de machines, et ses représentants se sont fait de plus en plus rares. Ils sont néanmoins devenus le fer de lance de l’éditeur et développeur japonais Koei, créé en 1978 et fusionné à Tecmo en 2009. Avec plus de 400 jeux à son actif, sur pratiquement tous les supports disponibles, la société s’est intéressée à quasiment tous les genres ; cependant, c’est plus particulièrement dans le domaine du beat’em all que le joueur français connait Koei. Portrait des licences à succès d’un éditeur prolifique.
Les Trois Royaumes
La série des Dynasty Warriors (ou Shin Sangoku Musô en japonais), initiée en 1997 sur PlayStation, est probablement la production la plus représentative de la façon dont Koei envisage le jeu de combats. Le principe du jeu, efficace et passionnant, repose sur l’adaptation vidéo-ludique de ce qui reste, encore à l’heure actuelle, un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature chinoise. Ecrite au quatorzième siècle par Luo Guanzhong, l’Histoire des Trois Royaumes (ou Sanguo Zhi) s’inspire des écrits du lettré Chen Shou datant du troisième siècle après JC.
Cette épopée se concentre sur l’histoire de la Chine des années 184 à 280, période qui vit l’affrontement des royaumes Wu, Wei et Shu pour la domination du pays. Sans entrer dans les détails (les personnages sont nombreux, et leurs noms difficiles à assimiler au premier abord), l’Histoire des Trois Royaumes transcende la simple description historique pour fournir un récit riche et complexe, mêlant considérations politiques et militaires, trahisons, psychologie et batailles épiques. Elle se prête donc à merveille au style de Dynasty Warriors, qui vous propose de choisir un personnage parmi les trois factions et d’affronter des centaines d’ennemis en revivant les épisodes les plus importants du roman.
Si le principe du jeu est simple et finalement très bourrin, sa richesse vient de son approche extrèmement détaillée de l’Histroire des Trois Royaumes. En effet, la série fournit à chaque fois une grande quantité d’explications, de descriptions et de considérations historiques liées aux batailles auxquelles le personnage prend part, et Koei réussit le tour de force de rendre accessible au joueur lambda ces évènements pour le moins complexes. Outre les phases de jeu, qui se résument bien souvent à se tailler un chemin parmi les hordes ennemies avant d’affronter le seigneur de guerre occupant la région, vous êtes donc fortement incités à en apprendre plus sur l’histoire de la Chine au moyen d’une encyclopédie très complète, et c’est là une caractéristique des jeux de Koei : un gros travail est abattu par les programmeurs pour proposer au joueur un scénario passionnant, abordable et culturellement gratifiant, alors que la tendance habituelle des beat’em all fait généralement passer l’histoire au second plan.
Bien entendu, la licence n’est pas exempte de défauts. Il est notamment reproché à Koei un gameplay très basique (vous passez la plupart de votre temps à matraquer le bouton d’attaque pour tailler les lignes ennemies en pièce), une évolution très minime entre les différents épisodes, notamment au niveau des graphismes, ainsi qu’une politique douteuse qui consiste à utiliser le succès de la licence pour lancer sur le marché une multitude de spin-offs à l’intérêt contestable (comme les versions Empire et Xtrème Legends des Dynasty Warriors, qui n’apportent que peu d’amélioration par rapport au titre original, mis à part un aspect plus tactique). Cependant, la magie fonctionne à chaque nouvel épisode (7 à l’heure actuelle) et c’est avec joie qu’on se replonge dans les batailles titanesques et jouissives des Trois Royaumes.
A noter que ces évènements historiques font également l’objet d’autres jeux produits par Koei, notamment les Romance of the Three Kingdoms et les premiers épisodes de Kessen. Et pour ceux qui souhaitent approfondir l’expérience, sachez qu’une version française du roman existe chez Flammarion, et qu’un film réalisé par John Woo a vu le jour en 2008.
L’époque Sengoku
Dérivés de la saga Dynasty Warriors, les jeux Samurai Warriors (Sengoku Musô) en reprennent le fonctionnement global pour étudier cette fois la période Sengoku de l’histoire japonaise, située entre la fin du quinzième siècle et le début du dix-septième. Sur fond d’intrigues politiques, de trahisons et de vengeances, le joueur participe de nouveau à des affrontements gigantesques tout en améliorant sa culture et ses connaissances de l’histoire nipponne, aux côtés de personnages charismatiques tels que le célèbre seigneur Nobunaga Oda, ou encore l’attachant Magoichi Saika, en passant pas l’implacable ninja Hattori Hanzo. Comme dans Dynasty Warriors, le choix de votre camp influera sur la narration ainsi que sur l’agencement des batailles ; la possibilité de faire évoluer les personnages en levellant et l’aspect culturel du jeu garantissent aux Samurai Warriors une durée de vie aussi conséquente que celle, imposante, des Dynasty Warriors. Trois épisodes existent à l’heure actuelle, accompagnés bien évidemment de leurs habituels spin-offs.
Les passionnés de cette partie de l’histoire japonaise pourront également se délecter de la série Nobunaga’s Ambition, jeux de stratégie également édités par Koei, ainsi que du troisième volet de la série Kessen.
Autres dérivés
Le succès de ses deux beat’em all phares, que nous venons d’étudier, a incité Koei à réutiliser à outrance le concept, pour des résultats qui ne sont pas toujours très convaincants. C’est le cas de Dynasty Warriors Strikeforce, qui relate à nouveau les batailles des Trois Royaumes ; si le titre apporte quelques évolution bienvenues, comme la possibilité de se transformer en super-guerrier ou encore un mode online efficace, il est malheureusement plombé par sa difficulté, qui est une véritable punition (le moindre petit ennemi, qui sert habituellement de défouloir avant le boss-fight, est capable d’entammer sévèrement votre énergie). Bladestorm, quant à lui, s’intéresse à la guerre de Cent Ans, mais semble ne pas savoir se positionner entre beat’em all et stratégie. Et que dire de Warriors Orochi, sinon que Koei, en manque apparent d’inspiration, a eu l’idée très douteuse de mélanger les univers (pourtant bien différents et séparés dans le temps par plusieurs centaines d’années) de Samurai Warriors et Dynasty Warriors, au service d’un scénario complètement bateau. Néanmoins, au-delà de cet aspect négatif, le gameplay reste toujours aussi plaisant et jouissif ; mais on regrettera cette perte culturelle au profit d’un cross-over purement commercial.
Il arrive cependant que la formule fonctionne. Warriors : Legends of Troy représente une alternative intéressante à Dynasty Warriors en proposant de visiter la Grêce antique aux côtés d’Achille et autres héros légendaires. Bonne impression également pour les Dynasty Warriors Gundam (3 épisodes pour l’heure) qui mêlent efficacement le style beat’em all de Dynasty Warriors aux combats de mechas géants si prisés par les japonais, avec un nombre de personnages et de robots impressionnant. Enfin, mentionnons Ken’s Rage, adapté du manga Hokuto no ken, dont le style graphique et le scénario brutal conviennent parfaitement au genre de beat’em all dont Koei s’est fait le spécialiste.
Conclusion
Adulé par certains, décrié par d’autres, Koei ne laisse certes pas indifférent, notamment de par ses beat’em all tantôt respectueux et incroyablement riches en contenu ludique et culturel, tantôt empreints d’une sensation d’inachèvement, voire d’affront fait au joueur. Le renouveau de ses séries phares, réclamé à corps et à cris depuis plusieurs épisodes, tarde à venir, mais les jeux n’en restent pas moins des monuments de combat de masse inégalés jusqu’à ce jour par la concurrence. Seul l’avenir dira l’orientation que souhaite prendre la société, mais elle est attendue au tournant pas des armées de joueurs en mal de bourrinage intensif.
Rédigé par Jean-Philippe Estievenart
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Re: [Dossier] Les beat'm all de Koei
Dim 4 Déc 2011 - 14:03
Franchement, ton dossier est vraiment bien: il est réellement intéressant, très exhaustif et objectif!
Bravo!
Personnellement, le beat'em all m'a toujours attiré et Koei a su trouver de bonnes histoires comme la Guerre de Troie ou encore La Guerre de 100 ans qui m'ont beaucoup intéressées.
Après , je ne peux pas critiquer les autres jeux de Koei vu que l'univers japonisant ne m'a pas attiré...
Bravo!
Personnellement, le beat'em all m'a toujours attiré et Koei a su trouver de bonnes histoires comme la Guerre de Troie ou encore La Guerre de 100 ans qui m'ont beaucoup intéressées.
Après , je ne peux pas critiquer les autres jeux de Koei vu que l'univers japonisant ne m'a pas attiré...
Re: [Dossier] Les beat'm all de Koei
Dim 4 Déc 2011 - 14:30
Vraiment du bon boulot mon JP !
Comme le dit Superbabou, c'est un dossier complet et interessant.
Continu à nous faire partager tes écrits, ils sont pas mal :noelwink:
Comme le dit Superbabou, c'est un dossier complet et interessant.
Continu à nous faire partager tes écrits, ils sont pas mal :noelwink:
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Re: [Dossier] Les beat'm all de Koei
Dim 4 Déc 2011 - 15:49
Merci les mecs ça fait plaisir Ca fait du bien, car des anciens journalistes de Player One et Console + ont lu le premier numéro du mag et ont pas trouvé l'écriture géniale lol; pour les miens ils disaient que ça peut aller, néanmoins... Mais bon, ils sont tous issus d'écoles de journalisme alors que nous on est des amateurs...
Re: [Dossier] Les beat'm all de Koei
Dim 4 Déc 2011 - 16:02
ben oui, il faut savoir que sur le Net, la grande majorités des lecteurs ben sont des gamers simplement. La minorités sont d'autres journalistes et ce ne sont pas eux qui vont faire tourner vos mags ^^
Tant que vos 95% de lecteurs comprennent et lisent agréablement vos lignes c'est le plus important je trouve.
C'est comme moi avec mes vidéos. Surement que les professionnels trouveront a redire mais ma majorités de lecteurs trouve justement que cette "simplicité" et "proximité" est percutante.
Tant que vos 95% de lecteurs comprennent et lisent agréablement vos lignes c'est le plus important je trouve.
C'est comme moi avec mes vidéos. Surement que les professionnels trouveront a redire mais ma majorités de lecteurs trouve justement que cette "simplicité" et "proximité" est percutante.
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Re: [Dossier] Les beat'm all de Koei
Dim 4 Déc 2011 - 16:18
Voilà, tout à fait. Outre ces avis apparemment assassins des pros, le retour du public gamer est nettement meilleur ^^ C'est pour eux que j'écris, par pour la presse pro ^^
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